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Le Conseil en image de Soi

6 août 2010

Demandez le programme !

Axelle ABSALON, Conseil en image de Soi - programme spécial école.

Publiez sur Calaméo ou explorez la bibliothèque.

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12 juin 2010

Etonnante transformation !

A quoi bon se priver de rêver, quand on sait que la nature fait preuve de plus d'inventivité que le seul cerveau humain.
Juste pour le plaisir de l'effet de surprise, allez sur http://www.universdugratuit.com/viewmov.php?id=846.

8 mars 2010

Il y a trois façons d'être visionnaire

1 en ayant une vue directe sur l’avenir La question est alors : « Comment faire passer le message » ?

2 en portant des lunettes Si l’on sait y porter attention, on peut évoluer avec le regard des autres, en acceptant d’autres concepts …

3 en ayant une vision opaque C’est le plus souvent ce que l’on vit en situation de challenge. Si on a la chance d’en être conscient(e), on peut alors faire un travail sur soi-même  !

1 mars 2010

Dyslexie, dysphonie, dyspraxie,

contrepèteries obligent, font le bonheur des humoristes qui s’y meuvent joyeusement et dont je salue un des maîtres de l’art, Monsieur Antoine DEVOS.

Mais, voilà, quand on est sur la scène de la vie, quel malheur ! Et pourtant, souffrir d’un problème de dysfonctionnement comportemental cache parfois un potentiel offert à l’individu, bien supérieur au commun des mortels. Alors que l’on tente de « soigner » ceux qui en font preuve, le plus étonnant est qu’on leur reconnaît souvent, dans le même temps, une « intelligence supérieure à la moyenne ». On assiste, là encore, à la peur de ce que l’on ne comprend pas. En fait, c’est très simple, tout est une question de positionnement. Pour se diriger dans la vie, la plupart  d'entre nous prend pour repères : devant - derrière, en haut - en bas, à gauche - à droite, se situant, à chaque fois FACE à un plan n’offrant que deux alternatives de déplacement. Or, pour agir, nous nous positionnons DANS le plan, dans notre plan, nouveau départ pour une gestuelle s’inscrivant dans NOTRE volume. La suprématie de l’espèce humaine réside dans la faculté que son cerveau a, individuellement, de concevoir et transformer des images mentales originales, en actions mises en œuvre dans la vie matérielle. Cette faculté, utilisée ordinairement inconsciemment, lui permet, dans les faits, de passer allègrement du plan mental en dimension 2, une image est plane, à une construction animée en dimension 3, puisque son corps se meut consciemment dans le volume.

Cette compréhension du mécanisme permet, par exemple, de mieux appréhender des comportements socialement difficiles à gérer, tels que :

  • l’autisme

qui semble enfermer l’individu dans une carapace hermétique, frontière in traversable l’empêchant de communiquer avec son environnement,

  • la dyslexie

qui déplace les repères spatiaux temporels de l’individu, s’épuisant alors, à chercher en permanence le sens commun,

  • les troubles caractériels,

sortes de programmation psychologiques, qui soumettent le comportement de l’individu aux traits saillants de sa personnalité, semblant le mouvoir de l’intérieur sans concession et par voie de conséquence, sans possibilité d’adaptation au milieu ambiant,

  • la trisomie 21,

comme toute programmation génétique spécifique, qui donne à l’individu un conditionnement physique particulier et par voie de conséquence, ne lui permet qu’un échange partiel avec son environnement, alors que ses attitudes psychologique et affective restent par ailleurs ordinaires.

Monsieur Raymond de SAINT EXUPERY, redites-nous : « Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis. »

22 février 2010

Gérer l’effet de première impression, est-ce vraiment un luxe ?

Franchement, passer du temps à travailler la première impression, instant subtil à l’effet disparu à peine apparu, n’est-ce pas un luxe ?

Dans un contexte sociétal, où les repères se déplacent en permanence, redessinant peu à peu inexorablement, une nouvelle civilisation, il est essentiel de pouvoir se repositionner efficacement en permanence. Le Conseil en image de Soi répond à cette exigence. Loin des discours théoriques, qu’il faut encore interpréter, sa démarche est concrète.

Par exemple, pour gérer l’oral d’un examen, il faut savoir se présenter et intéresser un examinateur (même en fin de matinée), répondre à toute question (même déstabilisante), faire face (quand on ne sait pas) et rester fidèle au plan et au temps imparti sans s’emballer (surtout quand on sait). Mais, dans tous les cas, on doit maîtriser sa gestuelle pour ne pas laisser son corps trahir ce que l’on pense (avant même d’ouvrir la bouche).

Autre exemple, pour être un bon négociateur, il faut savoir ouvrir les portes (sans avoir à glisser le pied). Avoir une bonne connaissance produit, une nécessaire connaissance de l’environnement et la connaissance de son interlocuteur ne font la différence que si elles sont mises en valeur, c'est-à-dire si elles sont véhiculées par un discours vraisemblable. Ceci implique la sincérité d’une démarche que seule, la cohérence image-comportement rend crédible.

Enfin, les gens de théâtre en sont les témoins privilégiés puisqu’ils s’y confrontent inlassablement, le trac est la conception aiguë de l’effet de première impression. Ils savent que, si tous les regards ne se posent pas sur eux au moment de leur entrée en scène, ils peuvent « ramer » jusqu’à la fin, pour retenir l’adhésion de leur public. S’ils ne captent pas l’attention dès le départ, leurs répliques risquent de n’être ni entendues, ni vues. Ils sont alors comme, enfermés, dans un monologue. Et faute de ne s’être pas senti impliqué, le spectateur en reste frustré, insatisfait.

Le Conseil en image de Soi ne cherche pas à apprendre aux gens à lire ce qu’il écrit ou à faire ce qu’il dit, il leur apprend à écrire l’histoire de leur propre vie. Il postule que l’être humain ne peut avancer seul. Pour cela, il corrige la mauvaise impression et ouvre durablement la porte, à l’empathie.

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15 février 2010

L’effet de première impression, orateur ou conférencier ?

L’espace d’un instant, nous disons tout de nous et cependant … qu’en perçoit notre interlocuteur ? En situation de challenge, tel un conférencier travaillant son texte, nous arrangeons, colorions, modifions, habillons notre apparence, bref, nous maquillons notre image au sens étymologique du terme. Nous espérons ainsi créer une carapace générant un effet favorable à l’empathie de l’autre. Mais, dès que l’échange s’instaure, une écaille se soulève et la cuirasse bien vite se fend. Nous sommes même parfois désarçonnés par les interventions de notre interlocuteur, comme étonnés devant l’étrangeté du réel. Se présenter à l’autre comme orateur de sa propre histoire est une autre démarche. Elle implique un préalable : « la connaissance de soi ». Elle implique de « prendre conscience de son humanité », de ses envies, de ses capacités, de ses obligations. Le conférencier déroule un discours d’expert, l’orateur développe un sujet à la faveur d’un échange. Il ne sert à rien de prouver que l’on est à la hauteur d’une présupposée attente, la première impression n’est que l’introduction à la démonstration de la cohérence de tout notre être. Vouloir, pouvoir, devoir, qu’elles sont les valeurs que nous nous reconnaissons pour nous-mêmes ?

8 février 2010

Que disent nos cheveux ?

Le Conseil en image de Soi s'arrête attentivement sur deux fondamentaux : les cheveux et les ongles (« et les chaussures me direz-vous ? - C'est une autre histoire. ») A la célèbre question : « Que regardez-vous chez l'autre en premier ? », certains disent : « Les yeux, ou, les jambes. » Mais à la question : « Que voit-on en premier, même inconsciemment ? », on peut répondre sans hésitation : « Les cheveux ». De face comme de profil ou de dos, les cheveux révèlent notre relation à la société. Ils reflètent la perception que l'on en a et expliquent par voie de conséquence le mode action-réaction qui sous-tend nombre de nos réflexes comportementaux. La longue chevelure gauloise considérait les cheveux comme autant de capteurs de l'énergie naturelle ambiante. Même Sanson, à son époque, n'a pu exprimer sa puissance en déplaçant les colonnes du temple, qu'à partir du moment où ses cheveux ont commencé à repousser. Les cheveux du bouddha symbolisent le passage des échanges énergétiques de l'être avec son environnement. A chaque terminaison, les cheveux se bouclent comme sous l'emprise d'un phénomène ondulatoire. En période d'occupation, tous étaient impeccablement coiffés, comme se présentant « le petit doigt sur la couture » dans un monde où le moindre faux pas pouvait être fatal : cheveux courts, coupés très court pour ne pas se faire remarquer, cheveux longs, rassemblés en chignon ne dérogeant pas d'une épingle. Après avoir cassé les modèles de la société, la chevelure asymétrique s'est effilochée, les pinces en tous genres se sont jetées pêle-mêle sur des cheveux désormais anticonventionnels. Chacun veut être unique, veut être soi avant tout et peu d'entre-nous supporte l'idée de devoir être comme il faut. Nous nageons dans le règne de l'individualité poussée à son comble.

La chevelure d'un interlocuteur nous renseigne, ainsi, sur le regard qu'il pose sur le monde. Dites-moi comment vous êtes coiffé(e) et je vous dirai comment vous me voyez.

1 février 2010

Le geste est une gravure en mouvement

Comme un ensemble d’images génère un film, un ensemble de gestes forme la réalité du moment. Cette réalité reste souvenir, gravé dans le cerveau des protagonistes. Le geste fait inconsciemment accompagne et prolonge la pensée. Il la traduit dans l’espace. Le geste fait volontairement précède la pensée. Il la sert et lui prépare une place dédiée, dans ce même espace. La pensée, formulée en mots, exprime l’essence d’une idée. Le geste donne alors l’amplitude de l’idée.

25 janvier 2010

Comme une histoire ex nihilo, l'effet de première impression

est une sensation passée en devenir … paradoxe paradoxe … Elle se produit à l’instant où l’on rencontre quelqu’un pour la première fois. Il va se passer quelque chose et cependant, instantanément, tant de choses sont déjà perçues. A tel point que l’enjeu de l’échange qui débute peut s’en trouver transformé. Faire une première impression, c’est facile. Elle se fait inévitablement, voire automatiquement. Mais, se fait-t-elle au service de ce que l’on prépare, de ce que l’on veut obtenir ? Il est essentiel, dans certaines circonstances, comme le sont les situations de challenge, de maîtriser cet effet. On se donne alors le moyen d’en contrôler la portée, comme d’en gérer les conséquences. On reste maître de soi dans l’échange.

21 janvier 2010

La première impression, un impact déterminant !

"Je me souviens, quand je vous ai vu(e) la première fois, ... " Dès le premier regard, dès la première fraction de seconde, avant même d'avoir parlé ou simplement bougé, nous transmettons une multitude d'informations. L'espace d'un instant, nous produisons les mêmes effets qu'une photographie accompagnant un document. Si le fond et la forme du document peuvent moduler l'impression dégagée, cette première image reste ancrée, comme un repère, dans l'imaginaire de tout interlocuteur.

14 janvier 2010

« Coach en image », « Relooking » et « Communication non verbale »

sont autant de thèmes qui fascinent le grand public et retiennent tout autant l'attention des entreprises. Comment expliquer cet engouement ?

Société agraire, société industrielle, société de communication, nous sommes passés en à peine trois générations, par trois modes d'organisation sociale radicalement différents. La coiffure n'est plus un indicateur de profession. Le travail ne se rémunère plus au temps passé. La rentabilité a succédé à la production. Désormais, on juge sur pièce : le fonds est plus que jamais soumis à la forme. Les longs discours font place à une présentation instantanément crédible. Tel un écran virtuel, l'image globale de Soi doit annoncer « d'emblée » le potentiel mis en action.

13 janvier 2010

Pourquoi choisir le titre de " Conseil en image de Soi " et non simplement " Conseil en image " ?

Chacun sait que l'image projetée détermine souvent l'issue d'un échange. Il m'apparait que cette image doit révéler le fonds et non l'habiller conventionnellement, au risque de le masquer. Rien ne sert de construire un personnage si on ne peut l'animer durablement de ses propres convictions. Le Conseil en image de Soi guide la personne dans la formulation de ce qu'elle veut exprimer d'elle-même. Il effectue un retour d'image permettant d'évaluer les décalages entre l'image désirée et l'image projetée. Les axes d'améliorations se travaillent alors avec un ensemble d'exercices facilitant l'adhésion du sujet, par leur aspect ludique.

12 janvier 2010

Pour commencer l'année,

PHOTO_VOEUX

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